Après avoir parlé chiffres, parlons repas. Donc en ce moment je mange plus qu’avant. Il faut dire que depuis le 30 juin j’ai repris le sport intensivement, TRES intensivement. Je vois donc Paul trois fois par semaine, vais faire une séance seule le dimanche matin, et les autres jours je marche entre huit et dix kilomètres, monte au minimum 30 étages, et brûle 3200 calories les jours sans sport, et 4000 les jours avec sport. Ca progresse de semaine en semaine, mon métabolisme de base augmente. Et ce n’est ni magique ni miraculeux, c’est un énorme boulot.
J’en bave pendant les séances avec Paul, comme jamais je n’en ai bavé. Les autres jours, je marche, je monte des étages, je bouge non stop, le dimanche je me lève tôt pour aller faire ma séance seule à la salle de sport et je m’y donne à fonds. J’envoie des rapports à Paul chaque soir.
Je mange donc plus, les deux compléments protéinés chaque jour (pendant deux mois, donc jusque mi-septembre puisque je n’en prendrai pas pendant nos vacances à Lisbonne), et des repas plus « gras » qu’avant, et avec un apport glucidique plus important. Je me régale car je compose comme je veux.
La seule chose à retenir est que chaque repas peut contenir protéines, lipides et glucides, soit féculent soit un fruit. Côté quantités, pas de prise de tête à compter, calculer, les repères que m’a donnés Paul sont simplissimes. Protéines, l’équivalent d’une paume de main (en évitant les viandes telles que porc et agneau pour le moment, le but est de perdre la masse grasse et augmenter la masse maigre de mon corps), les lipides, un pouce (soit une cuillère à soupe d’huile, une douzaine d’amandes…), les glucides, l’équivalent d’un poing de féculents, ou un fruit (sauf la banane, une moitié). Légumes à volonté. J’applique cela à la lettre, ceci dit ce n’est pas compliqué, puisque je peux manger de tout.
Mais en ce moment, je n’ai pour ainsi dire envie que de salades. C’est pareil tous les étés, je suis dingue des salades composées. Je prends pratiquement toujours la même base. De la laitue (que Chéri achète au marché), des tomates, concombre, radis, poivron cru, cornichons, que je varie selon mon envie du moment. Et j’y ajoute systématiquement ou presque un oeuf dur, puis je choisis entre jambon blanc, poulet, viande des grisons, thon (en boîte), saumon fumé, crevettes… Parfois j’y ajoute un féculent, riz ou pâtes, mais la plupart du temps j’ai envie de finir mon repas par un fruit. Vinaigrette avec vinaigre de vin la plupart du temps, ou jus de citron, huile d’olive ou de noix, parfois un peu de mayonnaise au citron que nous rapportons de Belgique (pour moi, pas de meilleure mayo que la belge;-)). Voici les salades que je me suis faites cette semaine.
Hier soir, nous sommes allés dîner dans le petit restaurant coréen que nous aimons tant. Habituellement nous y allons en bus, ce qu’a fait Chéri hier soir. Moi j’y suis allée à pied:-) Eh oui, les kilomètres quotidiens ne se font pas tout seuls…
Nous avons commencé par nous partager une salade chinoise, soja croquant, salade verte, tomates, avec une sauce au sésame.
Puis j’ai pris deux rouleaux de printemps.
Chéri a pris des cuisses de grenouille au curry, de la rôtisserie (travers de porc, canard), et un riz sauté aux légumes.
Nous sommes rentrés tranquillement en bus. J’aime tellement les samedis avec Chéri. Ce matin, je suis allée au sport, faire 50 minutes de fractionnés sur tapis, pendant que Chéri allait au marché faire le plein de fruits et légumes. Il a aussi rapporté un poulet tout rôti, et est passé dans une pâtisserie que nous aimons pour acheter un flan à emporter chez ses parents. Nous avons donc déjeuné très simplement, et sommes allés passer l’après-midi chez les parents de Chéri.
Sa mère se fait opérer demain d’un kyste en bas du dos, près de la colonne vertébrale… Nous devons partir dimanche prochain pour neuf jours à Lisbonne. Il va sans dire que si la mère de Chéri n’est pas en forme, nous ne partons pas !
Je suis en vacances jeudi 29 au soir, vendredi 30 je vais passer la journée à Reims et samedi on avisera si nous partons ou pas.
Sinon samedi 31 sera une journée tranquille, à préparer les bagages, décompresser, et pour moi, une séance de sport à 14h, puisque je ne verrai pas Paul le vendredi, et qu’ensuite nous serons deux semaines sans nous voir, je pars du premier au neuf, et lui du premier au 15 août. Nous nous retrouverons mardi 17 août. Donc samedi prochain, il me pèse et surtout me mesure, analyse les % de masses, et ajustera le plan alimentaire pour la rentrée.
Ce soir en rentrant de chez mes beaux-parents, je me suis fait un masque pour les yeux, et contour des yeux surtout, puis un masque visage.
Et nous avons dégusté un jus de citron avec plein de glaçons et de l’eau gazeuse, j’adore !
Sinon, puisque je suis à vous montrer plein de nourriture, que je vous montre ce que Chéri a cuisiné samedi dernier, quand nous avons reçu un couple d’amis à dîner.
Apéritf, tomates, radis (oui bon j’y tiens, pour tremper dans le houmous c’est « moins pire » que les gressins feuilletés pur beurre), houmous, involtini et petits poivrons farcis (du traiteur, pas faits par Chéri). Saucisse sèche évidemment, Chéri sans saucisse sèche ne serait plus Chéri:-)
Ensuite Chéri a fait rôtir au four travers de porc, cuisses de poulet et saucisse occitane au piment d’espelette. Ainsi que des pommes de terre, avec têtes d’ail et oignons, fondantes comme jamais. Il y avait de la viande pour au moins huit personnes, et des pommes de terre pour six. Et bien tout a été mangé. Nos amis se sont resservis trois fois. Il est vrai que c’était très très bon, Chéri est le roi des assaisonnements et de la juste cuisson.
Ils avaient encore faim pour fromage et salade. Pour le dessert, mon amie, qui travaille dans une pâtisserie, avait apporté des gâteaux. Nous étions quatre elle en a apporté six. Et là encore tout a été mangé.
Je n’en revenais pas. Je pense que c’était le plaisir de nous retrouver, d’être enfin ensemble qui a décuplé les appétits.
En ce qui me concerne, j’ai mangé à l’apéritif tomates cerises et radis, que j’ai trempés dans l’houmous. Puis un pilon de poulet, un travers de porc, une demi saucisse au piment. Une pomme de terre au four. Ni fromage ni salade. Et pour finir, la moitié d’un des gâteaux au chocolat, et la moitié du framboisier. Pour nous achever, elle avait aussi apporté ces deux tablettes de chocolat:-) J’ai pris un carré de chaque.
Pendant que les garçons dégustaient leur digestif, nous avons mon amie et moi bu une tisane. Cela faisait longtemps que nous n’avions pas reçu, j’espère que tout continuera bien en septembre et que nous allons pouvoir reprendre une vie sociale.
Voilà, vous voyez en quoi consiste mon. alimentation actuelle. Le matin pour le moment, ma préférence va à oeuf, banane, amandes. Et pour le midi, des bentos que je fais réchauffer, souvent à base de poulet-ratatouille, omelette-champignons, des choses simples comme ça, accompagnées d’un fruit.
J’espère que vous avez passé un bon week-end. N’oubliez pas de prendre soin de vous:-)
Vous connaissez mon amour des chiffres, des statistiques, des suivis etc…
A la veille du premier confinement, j’ai été opérée du ménisque. J’ai fait la rééducation seule à la maison durant ce confinement, je faisais mes exercices montrés par le kiné vite fait à l’hôpital, et au bout d’une semaine, chaque jour j’allais marcher une heure, en boitillant, puis boitant moins, puis en faisant de la marche rapide. Donc je marchais environ environ 4000 pas (oui, je marchais très lentement à cause du genou. En temps normal en une heure je fais 7 à 8000 pas).
Puis une fois remise, comme je ne travaillais pas et que nous étions toujours confinés, j’ai fait chaque jour une heure de sport en visio avec Philippe. Puis le confinement a été levé, je n’avais pas encore trouvé de travail, et j’allais rejoindre Philippe au stade. Entre le trajet pour aller au stade, la séance de sport, les allers-retours à (encore) Charleville, je marchais beaucoup, au moins 12 000 pas par jour.
Et j’ai trouvé mon travail… Et j’ai fait de nombreuses heures. Je n’ai plus pu aller au stade rejoindre Philippe, ni aller chez JC. Je marchais un peu en faisant l’aller-retour au bureau, environ 3500 pas l’AR, mais je restais scotchée à mon bureau, donc je ne dépassais guère 5000 pas par jour. Ensuite bim, deuxième confinement et télétravail. Là, la plupart des jours je ne mettais pas le nez dehors, et faisais à peine 2000 pas par jour. Seul le samedi à Reims relevait la moyenne.
Pas étonnant que ma masse musculaire se soit ramollie et transformée en gras… Le sport, la marche commençaient à me manquer méchamment. Source supplémentaire de tristesse, de nervosité, de mal être, de mauvais sommeil. Il m’a fallu plusieurs mois pour trouver la salle me convenant, que ce soit le lieu, le concept, et surtout il m’a fallu du temps pour les appeler, et oser prendre rendez-vous.
Oui je vous l’ai dit, je me sentais en décalage avec un si bel endroit. A tort d’ailleurs car j’y suis aujourd’hui comme chez moi. Et depuis le 30 juin, tout a bien changé. Paul veut que je fasse minimum 10 000 pas par jour en pratiquant le NEAT comme je vous ai expliqué. Et passer de 2500 calories en moyenne brûlées par jour à 2800 les jours sans sport et 3500 les jours avec sport. Vous savez à quel point ce genre de défi me fait jubiler, il l’a bien vite compris, en me demandant de lui envoyant le rapport de ma montre connectée chaque soir:-)
Et de fait, en moins de trois semaines, j’ai augmenté progressivement chaque jour, jusqu’à être la semaine dernière à une moyenne de 15 500 pas et 3200 calories brûlées chaque jour.
Nous avons également passé un deal. Plus de 15 000 pas par jour pendant mes huit jours de vacances. Les jours où je n’aurai pas fait assez de pas, j’irai sur le tapis de la salle de sport de l’hôtel;-) Il ne me demande rien d’autre, les vacances sont les vacances, donc pas de programmes d’exercices à faire seule. Et puis j’irai à la piscine de l’hôtel. On a aussi passé un deal sur l’alimentation, je vous expliquerai.
Et depuis le 30 juin, je mange différemment, je mange davantage. En revanche, fini les chips, finie la petite glace le soir… Mais en moins de trois semaines, ma silhouette a déjà changé, entre cette alimentation plus copieuse mais sans produits transformés, les quatre séances plus qu’intensives par semaine, et le NEAT. Mes collègues me l’ont déjà fait remarquer. ma mère l’a vu samedi.
Et moi, j’ai retrouvé une énergie de folie, je n’ai pas pleuré depuis plus de dix jours, j’aime ma peau retrouvée, toute douce, lumineuse (boire plus du double d’eau qu’avant joue aussi sans aucun doute pour la peau). Et ce n’est que le début, le tout début. Paul est d’une exigence de folie, il m’a demandé un réel engagement, nous avons un super objectif de silhouette à atteindre pour janvier. J’adore vous vous en doutez bien. Même si je crache mes poumons pendant la séance, même si mes bras et mes jambes se tétanisent, si mes abdos me font mal au moindre sourire, c’est ça que j’aime et qui me fait me sentir tellement bien.
Quand je suis avec Paul, je vois les autres coachs avec leurs élèves, ils sont tous très exigeants, waouh je me sens si bien dans cet environnement.
Sinon, qu’est-ce que j’ai mangé aujourd’hui ? Ce matin au bureau à huit heures, un oeuf dur, une demi banane et des amandes.
Supplément protéiné à 11 heures. Déjeuner à 13h30. Les aiguillettes de poulet que j’ai cuisinées hier soir avec tomates, champignons, oignons. Accompagnées de riz complet. Et donc pas de fruit, les glucides étaient le riz.
A 17 heures, deuxième supplément de protéines de la journée. Et à 20 heures le dîner. Laitue, concombre, radis, thon au naturel, un oeuf. Puis un quart de melon.
Vous avez compris le principe protéines/lipides/glucides.
Une collègue qui est allée au Mont-Saint-Michel le 14 juillet m’a rapporté cette jolie boîte pleine de palets bretons et galettes. Cette collègue est russe, arrivée de Russie à 28 ans. J’adore discuter avec elle.
Ca m’a fait très plaisir. En moins d’un an, et sans beaucoup voir mes collègues entre confinement et télétravail, je me suis vraiment bien intégrée. Ils ont tous l’impression que je suis là depuis toujours me disent-ils. J’ai mis pas mal de choses en place en un an pour fluidifier les relations entre les pôles, améliorer le quotidien de travail de mon Président et ma DG, et je crois que beaucoup apprécient. Ils ont reconstruit en moins d’un an ce que mon ancien DG a totalement détruit en moi. Je commence à retrouver un tout petit tout petit peu de confiance et d’estime de moi. Enfin bref, autant la boîte de biscuits m’a terriblement fait plaisir, autant c’est Chéri qui va manger les biscuits:-)
Voilà, une journée type, pleine de chiffres:-) Bonne soirée vous tous.
Que je vous raconte mes premiers pas dans mon nouveau club de sport. Mercredi 30 juin j’étais intimidée à l’idée d’aller visiter cet endroit haut de gamme, et de rencontrer mon peut-être futur coach. Je sais pertinemment que j’ai perdu en forme physique, en niveau sportif, je ne suis pas une déesse avec un corps de déesse, j’ai 53 ans, bref, j’étais un peu anxieuse d’arriver dans ce bel endroit.
Carrément anxieuse en réalité. Je suis donc arrivée à 19h40 pour la visite. Comme je vous l’ai dit, le lieu m’a enchantée. Après la visite, la jeune fille de l’accueil m’a laissée au vestiaire pour que je me change. J’arrivais du travail, j’étais en robe. Je me déshabille, farfouille dans mon sac de sport… et me rends compte que j’ai toute ma tenue sauf le tee-shirt… Comment ai-je pu, en préparant le matin mon sac, oublier de prendre un tee-shirt ????????
Instant de panique, bouffée de sueur froide… J’ai réuni le peu de fierté et de dignité me restant, et suis redescendue à l’accueil pour demander s’ils vendaient des tee-shirts. Bien sûr que non. Et comme il était presque 20h30, les boutiques de la Gare Saint Lazare étaient fermées…
Le directeur de la salle, qui était là, m’a dit, pas de souci, je vous prête mon tee-shirt d’entraînement, il est tout propre. Euh… le directeur de la salle, un peu plus petit que moi, et musclé tout en finesse, je ne me voyais pas rentrer dans son tee-shirt. Il a insisté et m’a fourré le tee-shirt dans la main. En plus un tee-shirt de fitness, bien bien moulant vous savez. En le voyant, j’ai dit « non mais là il manque au moins deux tailles ». Tous les coachs, le directeur, les personnes de l’accueil étaient autour de moi. Alors j’ai réagi comme je sais faire, avec humour… Que faire d’autre ? Je les ai faits rire en leur parlant de ma honte intersidérale
Du coup je les ai mis dans ma poche, je suis devenue leur mascotte. N’empêche, me restait à aller mettre ma tenue de sport et LE tee-shirt. Je suis redescendue à l’accueil, pétrifiée de gêne. Bon, je dois avouer que le tee-shirt, moulant comme un tee-shirt de sport, était en réalité à ma taille. Je me vois plus volumineuse que je ne suis…
Quand ils m’ont vue, c’est aussi ce qu’ils m’ont dit. Sur ces entrefaites Paul est arrivé pour me chercher, et je lui ai raconté cette mésaventure, nous avons tous bien ri, je leur ai dit que j’allais devenir leur boulet préféré. Et qu’il me fallait d’urgence un casier à l’année, pour que cela n’arrive plus. Et en effet, dans mon casier, j’ai au moins trois tenues, des chaussettes au tee-shirt. Deux paires de chaussures de sport, des produits de toilette, deux tote bags pour remporter mes affaires sales, bref, je peux aller au sport même quand je ne l’avais pas prévu, cela ne m’arrivera plus:-)
Du coup, quand nous avons été seuls dans le salon avec Paul pour faire connaissance et déterminer nos objectifs, il s’était déjà assis, je suis restée debout et ai tourné sur moi en lui disant « voilà, avec ce tee-shirt moulant et court, tu vois ainsi très exactement le travail à faire ». Il a ri. Et de toute façon, il m’a photographiée en legging de sport et brassière de sport, alors pour voir, il a vu. Et ça c’est bien. Il conçoit son programme en fonction de ça, évidemment.
Les trois premières séances donc je vous ai dit, lui ont servi à me tester, en muscu, en cardio, en circuit haute intensité. Et à la quatrième séance, il avait concocté son programme. Et pour vous donner une idée, je dirais que JC et Philippe sont des chatons inoffensifs à côté de Paul. La reprise est intense et ultra difficile pour moi.
En plus de nos trois séances par semaine, il me donne des exercices à faire le dimanche matin seule à la salle. Chaque soir donc je lui envoie mon rapport du jour (pas, étages montés, kilomètres, calories brûlées à l’effort et au repos). Si à 22 heures je ne le lui ai pas envoyé (au départ j’avais peur de le déranger), il m’envoie un SMS pour me dire qu’il attend:-)
Bon, 22 heures ma montre n’indique pas le nombre de calories jusqu’à minuit, mais on ne vas pas chipoter, lui comme moi savons grosso modo ce que mon métabolisme brûle en une heure au repos, et donc en deux. Et en général entre 22h et minuit je suis au repos…
Vendredi il m’a pesée. Pas tant pour avoir mon poids, mais pour voir l’évolution en deux semaines de la masse grasse, masse maigre (musculaire), osseuse et hydrique. J’ai perdu 1,1% de masse grasse, et pris 0,5% de masse musculaire. Pas encore très significatif, naturellement en deux semaines. Ceux qui pensent qu’on peut se muscler et perdre du gras en faisant une séance ou deux se trompent lourdement, ça demande des mois de travail assidu et régulier. Ca me fait toujours sourire les personnes qui disent qu’en un mois dans une salle de sport elles ont pris plein de kilos de muscles. Avec JC au tout début, je n’avais jamais fait de sport, il a fallu plus d’un an pour pouvoir dire que je commençais à avoir un peu de muscles opérationnels.
En janvier, dans six mois on aura une bonne idée de la masse acquise, où, comment. Depuis ces deux semaines je bois plus. Ca c’est mon point faible depuis des années, ne pas boire assez. Mais là, avec Paul, j’ai peur:-)) Non je plaisante, je n’ai pas peur. Mais j’ai très envie de mettre tous les atouts dans mon jeu pour atteindre mes objectifs. Alors je bois maintenant entre 1,5 litre et deux litres d’eau chaque jour. Plus le café du matin, le thé de l’après-midi et la tisane du soir. Je vais beaucoup beaucoup beaucoup plus aux toilettes, même une ou deux fois la nuit. Mais ça ne peut que me faire du bien, ma dernière prise de sang en mai a révélé un début de souci rénal.
Et je mange davantage de légumes et de fibres, ça plus l’eau (avant je buvais moins d’un litre je pense) ont débloqué mon transit. Côté alimentation, je mange plus depuis ces deux dernières semaines. Je suis très exactement les conseils de Paul. Et manger plus non seulement ne m’a pas fait grossir, mais j’ai meilleure mine, et l’énergie nécessaire pour les quatre séances par semaine, sans compter la marche quotidienne que j’ai considérablement augmentée. Carrément doublée.
Ca va finir par me rentrer dans la tête que pour mincir et muscler il faut manger et non se priver. Donc je vous rappelle le principe. Ultra simple. A chaque repas, protéines, lipides, glucides. Légumes aussi il va sans dire. Plus deux suppléments de protéines par jour, un dans la matinée, un dans l’après-midi (pendant deux mois). Pour les lipides, au choix, huile, oléagineux, beurre de cacahouètes etc… Pour les glucides, il me faut faire un choix à chaque repas, soit ce sont des féculents, du pain, ou un fruit. Pas de produits laitiers, je n’aime pas ça, alors pas la peine de me forcer.
Donc, souvent le matin, je mange un oeuf ou deux, ou du jambon, avec des amandes et une demi banane (oui dans les fruits, le seul dont je dois prendre un demi, c’est la banane). Midi, je m’emporte à manger, la plupart du temps viande/poisson, légumes et un fruit. Le soir, j’adore me composer une salade, et un fruit souvent. Pour le moment au cours de ces deux semaines pour les glucides j’ai presque à chaque fois choisi un fruit plutôt que des féculents ou du pain. Les fruits d’été sont arrivés, et les nectarines, melons, me tentent plus que pâtes, riz ou pommes de terre.
Et je redécouvre le plaisir de manger une demi banane chaque matin, pour le moment je ne m’en lasse pas, je me suis privée si longtemps de ce fruit que j’aime, au prétexte que c’est une bombe calorique. Mais je brûle tellement de calories quotidiennes en ce moment… Et la banane c’est bon pour tout. Les muscles, les articulations, le potassium, le cerveau, le sommeil. Evidemment, dans la mesure du possible, uniquement des produits bruts, pas industriels, pas de sucre ajouté. Je mange très simplement, plus ça va, plus j’aime les choses toutes simples.
Dans deux semaines, nous sommes en vacances, vendredi j’ai discuté avec Paul de comment gérer les vacances. Je vous en parlerai.
Hier nous sommes allés à Reims avec Chéri. Ma nièce est venue déjeuner avec nous chez ma mère. Chéri avait préparé un osso bucco à tomber par terre. J’ai pu en surgeler huit barquettes pour ma mère tellement il en avait fait. Nous sommes allés voir mon père à l’Ehpad l’après-midi, mais il était dans un mauvais jour. Il y a maintenant plus de mauvais jours que de bons. Et ma mère décline également… vite…
Ce matin je suis allée faire 50 minutes de fractionnés sur tapis, ai envoyé le compte-rendu à Paul et suis rentrée. Chéri revenait tout juste du marché où il a fait le plein de fruits et légumes, oeufs, poulet, dinde, poissons. Et oui, pour les deux premiers mois, un maximum de protéines maigres. Le but est d’enlever de la masse grasse.
Par exemple, aujourd’hui, j’ai mangé… Ce matin tôt, un oeuf, une demi banane et des amandes. Juste après le sport le supplément protéiné.
Ce midi, laitue, tomate et radis, avec du pâté ardennais rapporté hier de Reims. La pâte briochée du pâté étant mes glucides du repas, je n’ai pas pris de fruits.
Cet après-midi à 17 heures, supplément protéiné. Ce soir, laitue, concombre, radis, oeuf dur, jambon blanc. Et une nectarine.
Cet après-midi j’avais réellement besoin de me reposer, la reprise du sport en plus d’une grosse semaine de travail et de la journée à Reims m’a laissée sur les rotules. Alors je suis tranquillement restée à la maison pendant que Chéri est allé au cinéma. J’ai cuisiné des aiguillettes de poulet avec tomates, champignons, oignons, ail, carotte. Qui me feront mes bentos des deux prochains déjeuners.
Voilà les amis vous savez tout sur sport et alimentation des prochains mois. A très vite. J’espère que vous avez passé un bon week-end, fait ce que vous aviez envie de faire, avec les gens que vous aimez.
Alors commençons par le début, je vous parle de ma nièce. Elle a donc obtenu sa double licence avec mention, et la voilà embarquée pour un master. Pour celui qui l’intéresse (relations internationales, dans la suite logique de Sciences Po, histoire et droit ainsi que son diplôme d’anglais), elle s’est inscrite à ceux qui existent, c’est à dire à Lyon, Bordeaux, Toulouse et Paris. Comme je lui disais que j’espérais qu’elle sera à nouveau à Paris dès septembre, elle m’a répondu qu’elle n’avait pas d’espoir, il y a 20 places pour 2500 dossiers par année scolaire.
Elle a tout de suite eu les réponses pour Bordeaux et Toulouse, positives. Et voilà que samedi dernier, alors que j’étais chez ma mère, elle nous a rejointes pour déjeuner, et nous annonce qu’elle est prise à Paris. Je l’ai prise dans mes bras, et vu qu’il n’y en a pas une mieux que l’autre, nous nous sommes mises à pleurer:-) Quel bonheur, après cette troisième année de licence pratiquement calfeutrée à Reims sans pouvoir venir en présentiel à la Sorbonne, elle va revenir à Paris !!!!!!
Revenir dîner chez nous une fois par semaine, passer prendre l’apéritif à l’improviste certains soirs en se moquant de nous, qui en sommes déjà à la tisane d’après-dîner:-)) Chéri a déjà listé tous les restos qu’il veut lui faire découvrir, les quartiers de Paris à arpenter… Bref, nous l’attendons avec autant d’impatience qu’elle en a de venir. Reste à trouver son appartement.
Et en ce moment elle s’entraîne dur pour le semi-marathon de Paris qui a lieu le 5 septembre. Bien sûr je serai sa première supportrice, au départ comme à l’arrivée. Elle fait également un boulot d’été, vendeuse dans un grand magasin. Et là où réellement, je dis qu’elle est extraordinaire (et vous allez voir que pour une fois c’est objectif), c’est que ses jours de coupure sont jeudi et dimanche. Et bien le dimanche elle va voir son grand-père à l’Ehpad, et jeudi elle va voir ma mère. Et jeudi dernier elle lui a fait une magnifique surprise. Elle est passée la chercher en voiture, et les voilà parties toutes les deux à Charleville. Elles ont déjeuné en terrasse place Ducale, puis sont allées voir ma tante qui fêtera son 90e anniversaire dans quelques mois. Ma mère a ainsi vu sa soeur qu’elle n’avait pas vue depuis novembre, et retrouvé Charleville où elle a vécu 70 ans sur 84.
Et bien, je ne connais pas beaucoup de jeunes gens de 20 ans qui passeraient ainsi leurs jours de congés à s’occuper si gentiment de leur grands-parents. Elle est consciente que chaque instant avec mon père ou ma mère est devenu précieux.
Elle s’accorde juste une semaine de congés en août, elle aura ainsi travaillé trois mois entre la fin de la licence et le début du master. Bon du coup, elle ne passe pas beaucoup de temps avec ses amis et son amoureux. Mais concernant son amoureux elle m’a dit « oui on est amoureux, mais vite fait ». Bref, pas l’amour de sa vie apparemment, elle me fait rire quand elle me raconte ses histoires amicales et amoureuses.
Sinon, pour changer de sujet, attention, avertissement. Le blog va à nouveau parler principalement sport et alimentation. Bien sûr je vais continuer à vous raconter ma vie, mes petites aventures, mes bonheurs et mes peines, mais je reprends le sport intensif, et l’alimentation qui va avec alors je vais beaucoup en parler. Donc…:-)))))) ceux que ça n’intéresse pas, fuyez au plus vite;-)))))).
UN CLUB UNIQUE
Installé sur deux niveaux au sein d’un monument historique, ce tout dernier club de sport luxe plonge ses adhérents dans un décor hors du commun ouvert sur la capitale. Logée derrière les sublimes arcades du XIXème siècle de la Gare Saint-Lazare, L’Usine est entièrement baignée par la lumière du jour avec vue sur le « hub » des 8e, 9e et 2e arrondissements.
Je vous disais que depuis que j’ai commencé ce nouveau travail fin août 2020, je ne réussissais pas à intégrer quatre heures de sport dans mes semaines. Alors d’abord il y a eu le couvre-feu qui faisait que je ne pouvais pas rejoindre Philippe tard au stade. Et puis Philippe, son bébé est né le mois dernier alors maintenant que nous pourrions nous retrouver au stade très tôt le matin ou relativement tard, et bien il a plutôt envie de passer du temps avec son bébé et sa femme. Et c’est compréhensible, cette période de sa vie est si importante pour lui:-)
Ensuite, à la fin du couvre-feu, j’ai pu retourner chez JC. Mais… JC a levé le pied et ne travaille plus en soirée. Alors il nous restait le vendredi, où il travaille jusqu’à 15 heures. Comme je quitte (normalement) à 13 heures le vendredi, sur le papier faire une séance de 14 à 15 ça colle. Mais pratiquement chaque vendredi je ne quitte en fait que vers 13h30, 14h… Et j’ai annulé plein de fois la séance avec JC à 14 heures, quelques minutes avant. Et ce n’est pas agréable pour JC, et c’est une cause de stress terrible pour moi qui déteste arriver en retard, et surtout me montrer impolie.
Bref, pas facile. Surtout en faisant de longues journées. Je pars de la maison entre 7h15 et 7h45 selon les jours pour arriver entre 7h30 et 8h, et quitte rarement le bureau avant 19h, parfois plus tard… Le samedi je vais à Reims donc pas possible de caser une séance, et de toute façon ni JC ni Philippe ne donnent de cours le samedi.
Pourtant j’ai besoin de faire du sport. Pas juste envie, besoin… Pour être équilibrée et sereine, je ne peux me passer de ces moments juste pour moi, où je me vide la tête de tout. Et j’aime tellement les séances de cardio, de renforcement musculaire, de challenges. Plus les mois passaient plus ça manquait à mon équilibre. Je dors très peu (4 à 5h par nuit), très mal, je me ronge d’angoisse pour mes parents, alors oui j’ai besoin de me défouler ! Aller seule à une salle ne m’intéresse pas vraiment, sauf si j’y ai un super coach et que je fais une séance seule par semaine mais au moins deux ou trois avec le coach.
Il y a une salle au coin de la rue où je travaille, ouverte de 6h du matin à 23h je crois, alors pourquoi je me prends la tête me demanderez-vous ? D’autant qu’au travail, pendant les travaux de rénovation, ils ont fait au sous-sol de l’immeuble une superbe salle de douche. Ils ont fait cela car pratiquement tout le monde (nous sommes 48, il y en a une vingtaine) va à cette salle de sport du coin de la rue. Ainsi nous avons tout le confort possible pour nous changer, revenir prendre notre douche au bureau. Mais justement, je n’ai pas envie de faire des cours particuliers avec un coach sous les yeux de mes collègues, et surtout, cette salle « low cost » ne propose pas beaucoup d’équipements et surtout pas de coach comme celui que je désire. Oui, j’ai acquis un bon niveau, et je souhaite un coach très, comment dire, enfin très très bon dans son domaine.
Alors j’ai cherché, cherché, cherché, appelé pas mal d’endroits, de salles de sport, de studios de sport, qui pourraient correspondre à mes désirs, à mes objectifs, à mes horaires. J’ai parlé avec des coachs, des responsables de salles… Et j’ai fini par trouver mon bonheur. Je me suis offert ce bonheur. Oui, offert, car j’ai choisi une salle haut de gamme, et le coaching qui va avec. Et je n’ai pas d’état d’âme. Je viens de passer 18 mois éprouvants, accumulant un épuisement avec tous ces allers-retours pendant les confinements, liquidant (ce qui m’a détruite) la vie de mes parents en vidant leur maison, organisant leurs déménagements et toutes les paperasseries qui vont avec, tout en cherchant et entamant un nouveau travail, allant tous les samedis à Reims.
Sans compter les nuits sans sommeil, le chagrin, la peur épouvantable pour mes parents, alors oui, je me suis offert ce cadeau sportif dont j’ait tant envie, qui va me faire un bien fou, et je m’en félicite. Mon choix s’est porté sur l’Usine. Il y a trois clubs à Paris, un à Bruxelles, un à Genève. J’ai choisi la salle de Saint-Lazare, très pratique pour moi. 4 stations de métro de métro de mon travail, et la salle étant dans la gare, je mets moins de 20 minutes de porte à porte. Pour rentrer à la maison, ou pour y aller le dimanche, j’ai le choix entre le bus, et le métro. Le plus souvent je prends le métro, c’est direct de chez nous, et en 20 minutes j’y suis ou j’en reviens.
La salle est splendide, avec une immense verrière au-dessus de la gare Saint-Lazare. Ce club est immense, mais vraiment immense. Des espaces repos avec en-cas « sportifs », des serviettes à volonté, moelleuses et de différentes tailles. Un sol spécial dans les espaces cardio et muscu. Des équipements dernier cri. Deux studios avec un parquet magnifique, pour le yoga, le pilates, le cycling. Une hygiène irréprochable.
Dans certaines salles un peu « low cost » flotte une légère odeur de transpiration, particulièrement dans les vestiaires. Ici, vestiaires magnifiques, avec douches individuelles, sauna, hammam, des coiffeuses avec miroir éclairant et sèche cheveux pour après la douche. Des fleurs, des bâtonnets de bois plongés dans de jolis pots de parfum d’intérieur, c’est beau, ça sent bon. C’est d’une propreté à manger par terre, il y a plusieurs personnes qui nettoient en permanence. Et partout la vue sur Saint-Lazare. Tout n’est que luxe et volupté pour reprendre l’expression.
La clientèle aussi est différente des salles de quartier, je me sens d’ailleurs un peu en-dessous de cette clientèle, ma tendance à me sous-estimer est toujours bien présente. Je ne croise que des hommes en costume cravate, des femmes élégantes… Ceci dit, quand nous sommes en tenue de sport, en train d’en baver lors d’une séance, tout le monde est pareil…
Il faudra que je pense à vous raconter la honte inter-sidérale que j’ai eue lors de ma première séance, du coup tous les coachs et les gens de l’accueil me connaissent, et le contact a été chaleureux dès le premier jour:-) Bref, une salle haut de gamme.
Je l’ai d’abord sélectionnée sur internet, puis ai téléphoné, pour connaître les tarifs, et parler de ce que je souhaite. La jeune femme avec laquelle j’ai parlé m’a demandé si j’avais repéré sur leur site un coach plutôt qu’un autre. J’ai dit que non (ce n’est pas un catalogue, je n’allais pas choisir en fonction de leur tête), que je veux avoir affaire à un coach non seulement diplômé de sport (ils le sont tous évidemment), mais aussi spécialisé en nutrition, et très exigeant. Elle m’a dit « alors c’est Paul qu’il vous faut ». Nous avons donc pris rendez-vous, pour que je visite la salle, et fasse une séance d’essai avec Paul.
Pour voir si la salle me plaisait, et si le contact passait bien avec Paul. C’est rigolo, son frère jumeau Jules est également coach à l’usine Saint Lazare. Tous deux joueurs de hockey professionnels, pompiers volontaires… La salle est ouverte de 7h à 22h, 365 jours par an.
J’avais rendez-vous mercredi 30 juin à 19h45 pour visiter puis enchaîner sur la séance test avec Paul à 20h30. La visite m’a enchantée, le lieu, les odeurs, les différents niveaux, la beauté de l’architecture. A 20h30 Paul est venu me chercher, nous nous sommes isolés dans un salon avec fauteuils en cuir, boissons… Et là, il m’a posé de nombreuses questions sur tout mon « historique » sportif et alimentaire. Mon état d’esprit, mon état moral…
J’ai répondu à tout sans rien cacher, et lui ai dit mes attentes. Un prof exigeant, qui ne me passe rien, me fait progresser et repousser mes limites, me guide pour une alimentation correspondant à une vie active et gagner en énergie, me permettant d’avoir une silhouette tonique, dynamique, fine et musclée. Il m’a expliqué sa façon de travailler, qui m’a enthousiasmée. ! Ca passe ou ça casse avec ce genre de personnalité plus qu’exigeante et rigoureuse. Il m’a dit aussi que certes je suis la cliente de la salle et peux demander à avoir tel ou tel coach, mais que lui se réserve le droit de choisir les personnes avec lesquelles il va travailler. Car il demande un réel engagement, un sérieux sans excuses.
J’ai tenté une vanne pour voir comment il réagissait, il a répliqué du tac au tac, nous étions sur la même longueur d’ondes et nous sommes tapés dans la main. Affaire conclue. Il m’a pesée, mesurée sous toutes les coutures, photographiée. Sa balance donne les masses grasse, hydrique, musculaire, osseuse. Par rapport à ce que j’avais il y a un an avec ce même genre de balance à électrodes chez JC, j’ai perdu du muscle. J’ai encore une bonne masse musculaire (56%), mais j’ai eu bien plus que ça. J’ai aussi pris de la masse grasse, logiquement. Beaucoup moins de sport ces derniers mois, des chips plusieurs soirs par semaine, beaucoup moins de marche de par le télétravail, un mauvais sommeil… Je ne vais pas me chercher d’excuses, j’ai réduit le sport à son strict minimum, mangé des aliments « réconforts », logique que la masse grasse progresse.
Bref il est temps, plus que temps de rétablir tout ça et de reprendre le bon chemin:-) Nous avons tellement discuté avec Paul qu’à 22 heures ils sont venus nous chercher dans notre salon, nous n’avons même pas fait de séance pour tester mon niveau. Et je n’ai pas eu le temps de signer le contrat. Pas grave, au contraire. Je suis rentrée à 22h30 et ai eu le temps d’en parler tranquillement avec Chéri. Qui m’a dit « vas-y, tu as besoin de retrouver cet équilibre que te procure le sport, et tu aimes être coachée individuellement ».
J’y suis donc retournée jeudi premier juillet au soir, pris un abonnement d’un an, accompagné pour le moment de 50 séances de coaching dans un premier temps. Ce qui est chouette c’est que j’ai un casier à l’année, dans lequel je peux laisser mes chaussures de sport, de quoi me démaquiller pour quand j’arrive du travail, du déo, des crèmes pour quand j’y vais le matin très tôt et que je prends ma douche là-bas avant d’aller au bureau, plusieurs tenues de sport, au cas où me prendrait l’envie d’y aller un jour imprévu. Ca m’évite de trimballer ainsi toutes ces affaires quatre fois par semaine. Et comme ils fournissent eau et serviettes, c’est parfait.
Comme j’arrive en fin de saison, Paul a déjà son planning très chargé, alors pour le moment on fait au mieux. A la rentrée, j’irai deux soirs par semaine, le vendredi après-midi, et seule le dimanche matin, faire ce qu’il m’aura donné à faire.
Il m’a dit qu’en plus des séances que nous faisons ensemble, il veut que je fasse beaucoup de NEAT (Non-Exercise Activity Thermogenesis). « NEAT » est un terme anglo-saxons qui comprend tous les mouvements et tâches que nous allons effectuer durant la journée (marcher, monter des marches, bricoler, jardiner, danser, faire ses courses, etc…) sans qu’ils soient directement liés à une activité physique.
Chaque soir il me demande de lui envoyer la capture d’écran du rapport de ma montre connectée, avec le nombre de pas, d’escaliers montés, calories brûlées etc… Il veut que je fasse au minimum 10 000 pas chaque jour hors entraînement sportif. Et depuis deux semaines que je le fais, j’ai augmenté mon NEAT. Plus d’ascenseurs ni d’escalators, des détours quand je vais travailler, je vais aux toilettes au bureau à un étage différent de celui où je travaille etc… En deux semaines, ma moyenne de calories brûlées a augmenté de 400 calories par jour. Alors même si les montres connectées ne calculent pas précisément et scientifiquement, j’utilise la même depuis des années, et c’est mon repère. Et le fait qu’elle indique plus de calories brûlées le soir n’est pas contestable. J’ai aussi considérablement augmenté ma moyenne quotidienne de pas, à plus de 15 000 (environ huit kilomètres).
Côté séances Paul m’a testée pendant les trois premières, en cardio, en muscu, en circuit intensif cardio-renforcement musculaire. J’ai perdu en cardio c’est fou comme on perd dès qu’on ralentit le rythme sportif. Mais en deux semaines, ça commence déjà à s’améliorer, ma fréquence cardiaque au repos a baissé. Paul dit que j’ai un bon niveau, et qu’on va l’élever encore et encore, j’adore sa rigueur !
Nous avons fait une séance à l’ouverture à sept heures du matin. J’adore le matin. Partir à 6h30 de la maison et prendre le métro encore presque désert. Le temps de finir la séance, prendre ma douche, me maquiller, faire le quart d’heure pour aller au bureau, je suis arrivée pile à neuf heures. Moi qui arrive toujours très tôt, j’avais prévenu ma DG pour qu’elle ne s’inquiète pas.
Nous avons aussi testé les séances à 20h30, ce qui me fait rentrer à la maison à presque 22 heures. Le vendredi après-midi à 15h30. Un soir à 19h30 aussi, ça c’est parfait. Je pars sans stress du bureau à 19 heures. Et si je peux partir à 18h45 ça me permet de faire du tapis de course en attendant Paul. A la rentrée s’il peut me faire lundi mercredi à 19h30 ou 20h et vendredi vers 15 ou 16h ce sera parfait. Et le dimanche matin, j’y vais seule et fais le programme qu’il me donne le vendredi. En deux semaines, je me sens déjà tellement mieux. Moins fatiguée, dynamique, joyeuse, je recommence à sautiller partout, je me sens beaucoup moins tendue. Et j’aime que Paul m’envoie un SMS chaque soir pour analyser ma journée de NEAT. Côté alimentation, Paul, sportif pro, pompier volontaire, est au taquet. Passionné par l’alimentation, sans laquelle le sport n’a que peu d’effet, il a passé un diplôme pour allier les deux et tirer le maximum de bénéfices de la combinaison des deux.
Notre objectif, que je gagne de la masse musculaire, non pas pour gonfler, mais au contraire allonger et affiner, augmenter beaucoup mon métabolisme de base, et assécher au maximum ma masse grasse. Mon âge n’est pas un handicap selon lui. Je ne suis pas encore ménopausée, bien qu’ayant 54 ans le mois prochain, pour Paul c’est un avantage.
Donc, pour l’alimentation, rien que de très simple en fait. Protéines, lipides et glucides, plus légumes à chaque repas. Les lipides, végétaux, pas de beurre pour le moment. Ca peut être de l’huile, mais aussi, pour le matin par exemple des amandes et tout oléagineux. Les glucides, c’est soit des féculents soit un fruit, mais pas les deux. Je choisis donc selon mes envies du moment. De préférence, des glucides et légumes à IG bas pour le moment. C’est à dire plutôt du boulghour, du riz complet que des pâtes… Pour les fruits, tout ce qui me fait envie. Si c’est une banane en revanche, juste une moitié. Les protéines, les oeufs, poulet, dinde, poissons sont à privilégier. Pas de porc ni d’agneau les premières semaines, même le boeuf est à éviter. Cela, pour bien lancer le mécanisme métabolique, pendant deux mois. Ensuite Paul ajustera en fonction de la masse musculaire acquise.
Pendant ces deux premiers mois, on supplémente en protéines. Je prends un shake en milieu de matinée, un en milieu d’après-midi. Je lui fais confiance, c’est lui qui a commandé les compléments et me les a faits livrer. Rien de chimique.
Paul me pèsera et me mesurera quand il le souhaite, je lui laisse toute latitude à ce sujet. Enfin voilà, nous avons commencé il y a tout pile deux semaines, et je suis tellement heureuse d’avoir repris. Huit séances en deux semaines. Ce matin j’y suis allée seule, faire 50 minutes de fractionnés sur tapis. Très exactement ce que le coach m’a dit de faire. Je suis disciplinée et j’apprécie d’avoir un coach directif. Je pars du principe que chacun connaît parfaitement son métier, et je lui fais donc confiance. Tout comme j’aime qu’on me fasse confiance quand j’exerce mon métier.
Paul m’a prévenue que certaines semaines dans l’année, il ne sera pas là. Il coache une personnalité dans le sud de la France. Il ne m’a pas dit qui, et je n’ai pas posé de questions. Je ne pose jamais de questions, j’accueille les confidences quand les gens se sentent en confiance, mais jamais je ne pose de questions. C’est la base de mon métier, et de celui de Paul, savoir être discret, respecter la confidentialité.
Voilà les z’amis, vous savez tout sur ma reprise du sport de façon intense, et vous savez le plaisir et la sérénité que cela me procure. Je vais donc publier mes repas, mes résultats, vous raconter mes séances, en plus du reste.
Ce matin, quand je suis rentrée de l’Usine, j’ai pris mon shake de protéines, et avec Chéri nous sommes allés au cinéma à la séance de midi. Voir Présidents. J’ai beaucoup, mais vraiment beaucoup aimé. Des dialogues jubilatoires, un casting parfait (Jean Dujardin et Grégory Gadebois que j’apprécie énormément entre autres). Ils sont parfaits dans leurs rôles. Bref un très bon film, de ce genre qui fait qu’on se sent bien d’avoir passé un si bon moment au cinéma.
Je vous laisse pour ce soir. Je vais (essayer de) venir bien plus régulièrement pour publier repas et séances de sport notamment. Passez une bonne soirée. Et vous comment allez-vous ?
Nous sommes donc partis jeudi 24 juin matin à Bruxelles. Non mais quel bonheur de retrouver cette ville qui nous a tant manqué. Nous n’avons absolument rien fait de spécial. Beaucoup dormi, beaucoup marché, beaucoup d’arrêts pour boire des bières pour Chéri, des SPA citron pour moi. Nous avons eu de la chance pour le temps. Pas de pluie. Pas vraiment de soleil non plus. Nuageux, frais, finalement un bon temps pour marcher beaucoup. Sans avoir trop chaud ni trop froid. Chéri en tee-shirt, moi avec un pull léger en coton. Et puis moi, du moment qu’il ne pleut pas, tout me va.
Notre hôtel, en plein coeur de Bruxelles, à moins de trois minutes à pieds de la Grand Place, était parfait. Chéri connaît bien mes goûts, je le laisse toujours me faire la surprise de l’hôtel. Grande chambre, très grand lit avec un matelas épais et d’un moelleux indécent, salle de bains raffinée. Couloirs de l’hôtel avec une belle moquette, hall plein de fleurs, énorme porte tambour, le tout dans une rue piétonne. Dès notre arrivée jeudi, nous avons déposé nos valises à l’hôtel, nous sommes rafraîchis, et hop il était 12h15, nous sommes allés boire un verre.
Puis, EVIDEMMENT, manger un cornet de frites. Ah ! Depuis le temps que je me régalais d’avance en pensant aux frites belges !
Nous nous sommes ensuite baladés deux heures, et constaté avec tristesse que plusieurs des magasins que j’aime, et plusieurs restaurants où nous nous sommes régalés lors de nos séjours précédents n’ont malheureusement pas survécu aux confinements et fermetures successifs.
Nous sommes rentrés faire une sieste à l’hôtel, avant de ressortir pour boire l’apéritif, puis aller dîner.
Nous étions tranquillement installés, savourant le bonheur d’être à Bruxelles, quand j’ai vu entrer un couple. J’ai dit à Chéri que l’homme ressemblait à Stromaé, mais comme je ne suis pas physionomiste… Mais c’était bien lui, sa voix est reconnaissable entre toutes. Et quelques personnes sont venues le voir pour se faire photographier avec lui. Jamais je n’oserais faire ça. Déranger quelqu’un qui dîne tranquillement avec son amoureuse. Il a été très gentil, acceptant de bon coeur. Nous avons fini notre dîner, et sommes rentrés tranquillement à l’hôtel.
Pendant que Chéri regardait un film (il adore regarder des films sur les chaînes étrangères, en VO), j’ai lu. Nous avons super bien dormi, jusqu’à dix heures vendredi matin. Nous nous sommes préparés tout tranquillement, et sommes sortis à 11 heures pour boire notre café. Je n’aime rien tant que prendre mon café du matin dans un café, et non à l’hôtel. J’adore regarder les gens, les allées et venues… Et en Belgique, quand on demande un café au lait on nous apporte ça…
Quelle merveille, un spéculos émietté sur mon café devant moi… Oui, je m’émerveille facilement:-) J’étais si heureuse d’être là, tranquillement à Bruxelles avec Chéri que tout m’a émerveillée… Nous avons encore arpenté Bruxelles, à chaque fois nous découvrons de nouveaux recoins.
Vendredi nous avons beaucoup marché, jusqu’au quartier des antiquaires et brocanteurs, nous menant à la périphérie de Bruxelles. Naturellement Chéri est allé dans son magasin d’antiquités préféré et a acheté de quoi compléter sa collection de têtes de mort:-) Et moi j’ai trouvé dans une boutique un sac qui va me servir de sac de sport, je l’ai d’ailleurs inauguré hier matin.
Nous avons déjeuné dans un petit restaurant en plein milieu du marché aux puces, où nous allons à presque chacun de nos séjours. Il y règne une ambiance incroyable, tous les brocanteurs et antiquaires s’y retrouvent, on y déjeune pour quelques euros. Nous nous sommes régalées du potage du jour, au brocolis pour moi, à l’oignon pour Chéri. Puis une assiette de maatjes. Ce sont de jeunes harengs vierges, que l’on mange crus, tout simplement. C’est d’une douceur pour qui aime le poisson cru !! La saison est très courte, juste de mi mai à fin juin. Et nous adorons les maatjes !
Nous sommes rentrés tranquillement à l’hôtel, à nouveau pour faire une sieste. Et ressortis en fin d’après-midi découvrir de nouveaux recoins de Bruxelles. Nous avons pris l’apéritif en terrasse sur la Grand Place, je ne me lasse pas de la beauté de cette place.
Puis nous avons dîné dans un restaurant gastronomique que Chéri avait pris la précaution de réserver depuis plusieurs semaines. Le Rabassier. C’est un tout petit restaurant, 16 couverts en tout. C’était complet naturellement.
Là encore nous avons vu une célébrité belge, Julien Cohen, qui est entré dans le restaurant pour réserver une table. Très reconnaissable avec ses fameuses lunettes bleues. Nous étions justement passés devant son magasin d’antiquités l’après-midi, en plein coeur du quartier des antiquaires.
Nous avons pris le menu dégustation surprise et nous nous sommes régalés du début à la fin. Régalés est un faible mot cependant, c’était bien au-delà du régal. Ce cuisiner, très connu en Belgique, fait tout de A à Z, nous avons discuté avec lui, il se met en cuisine chaque matin à sept heures, pour les 16 couverts du soir. Il fait vraiment tout, des amuse-bouches aux mignardises, en passant par le pain. Et sa femme est au service et conseille pour le vin. Chéri a pris un accord mets-vin, pas moi évidemment:-)
Pour commencer, amuse-bouches, avec moule au curry dans une coque de persil, betterave confite avec espuma d’oignon, cuillerée de caviar, mousse de chicon. Puis la première entrée, asperges belges avec sorbet d’anguille fumée et fond d’anguille, décorées de quelques fleurs comestibles.
Deuxième entrée, homard sur lit de fragola et amandes fumées. Poisson, cabillaud sur risotto au parmesan, et copeaux de truffes fraîche.
La viande, du filet black Angus avec un jus très concentré, et tian d’artichaut et pommes de terre, purée d’artichaut. Je ne sais pas si vous vous en rendez compte sur les photos, mais tout cela est en portion dégustation, à savoir environ trois bouchées dans chaque plat, n’allez pas croire que ce sont des plats entiers. Il y a ensuite eu un granité à l’absinthe, que j’ai oublié de prendre en photo. Dessert, fraises sur jus de romarin et sorbet au foin. Puis les mignardises, macaron au cassis, madeleine au citron, financier aux amandes, pâte de framboise.
Une superbe soirée en amoureux ! Samedi matin à nouveau nous nous sommes réveillés à 10 heures, et sommes allés prendre un café, sur la Grand Place cette fois. Pendant que nous buvions notre café, nous avons vu un mariage célébré à l’hôtel de ville de la Grand Place sortir de l’hôtel de ville. C’était tellement joyeux !
Le midi nous avons déjeuné dans une institution, Georgette, réputée pour faire les meilleures frites de Bruxelles. Je confirme, ce sont celles que je préfère, à chaque fois que nous allons à Bruxelles, manger un cornet chez Georgette est mon plaisir absolu. Habituellement nous prenons juste un cornet côté friterie. Mais cette fois nous avons déjeuné dans le restaurant. Nous nous sommes partagés des fondus au fromage, spécialité belge par excellence. Puis un burger au black Angus et frites.
Nous sommes ensuite allés chez le chocolatier Galler, chocolatier artisanal que nous aimons beaucoup. Tous les chocolats belges ne sont pas bons, très loin de là. Les Godiva, Jef de Bruges et compagnie ne sont pas notre truc. En chocolatiers indépendants et artisanaux, seuls Galler et Marcolini nous intéressent. En industriel, Côte d’Or est mon préféré absolu. Bref, nous avons donc fait le plein chez Galler, puis sommes allés chez Delhaize. C’est une chaîne de supermarchés, style Carrefour en France. Il y en a un immense en plein coeur de Bruxelles. Et là, nous y passons au moins deux heures. A faire le plein de chocolats, biscuits, bières et fromages que nous rapportons aux amis et à la famille. Et bien sûr la fameuse mayonnaise au citron que seuls les belges savent faire. Et des pickles comme on n’en trouve pas en France. Nous avons aussi pris du café, et j’en ai rapporté pour ma mère. Après ces achats, nous rafraîchir s’imposait;-)) Nous avons bu un verre en terrasse place Sainte Catherine.
Heureusement que nous avions emporté une valise vide et un sac de voyage vide en plus de notre valise de vêtements. Nous sommes rentrés avec valises et sac pleins à craquer. A côté de l’hôtel il y avait une boutique comme on n’en trouve qu’en Belgique, pleine d’objets, de tableaux, de cartes postales décalés. Je me suis rapporté deux mugs.
Après tous ces achats, hop, encore une sieste à l’hôtel, j’ai un tel retard de sommeil !!
Après la sieste, une petite visite au Manneken Pis, habillé en l’honneur des Diables Rouges pour la Coupe d’Europe. Et un verre dans le café juste en face, où nous allons à chaque visite.
Et pour notre dernier dîner, nous nous sommes offert un bon restaurant sur la Grand Place. Nous avons tout au long du repas vu le jour se coucher sur la Grand Place, c’était si beau.
Nous nous sommes encore régalés de maatjes, il faut en profiter quand c’est la (courte) saison. Puis nous avons enchaîné avec des solettes de la mer du Nord pour moi, lard et saucisse grillés, accompagnés de stoemp aux choux de Bruxelles pour Chéri. Puis terminé par une gaufre bruxelloise (à ne pas confondre avec la gaufre liégeoise, Karin me comprendra). Chocolat fondu, chantilly et boule de glace pour Chéri, juste chocolat noir fondu pour moi.
Un repas typiquement belge s’il en est:-) Après ce somptueux et très très très copieux dîner, un dernier tour sur la Grand Place, et hop, retour à l’hôtel.
Dimanche matin, nous nous sommes levés tard encore, fait les valises, et sommes allés prendre notre dernier café. Une ultime balade dans Bruxelles, puis direction la gare.
Ces quatre jours m’ont fait un tel bien j’ai eu l’impression d’être en vacances au moins huit jours. En arrivant gare du Nord à Paris, retour brutal à la réalité, plein de policiers vérifiaient que chaque personne descendant du train avait son attestation de vaccination ou un test PCR de moins de 48 heures. Il nous a du coup fallu plus d’une demi-heure pour sortir de la gare. Nous sommes rentrés à la maison en taxi, trop chargés, et pressés de retrouver les pepettes.
Ce n’est qu’aujourd’hui lundi, une semaine après être rentrée que je vous écris. Dès lundi dernier, ça a repris sur les chapeaux de roues. Après trois jours de congés, ma boîte mail contenant plusieurs centaines de mails à traiter. Lundi et mardi ont été des journées de folie.
Mercredi j’ai visité ma nouvelle salle de sport et rencontré mon nouveau coach. Pendant deux heures il m’a posé des questions sur tout mon passé sportif, alimentaire, mon état d’esprit, mes objectifs. J’avais rendez-vous à 19h45, et suis sortie à la fermeture de la salle à 22 heures. Rentrée à la maison à 22h30. Jeudi j’y suis retournée après le travail et rentrée à 21h30. Vendredi, habituellement je ne travaille pas l’après-midi mais ce vendredi exceptionnellement ma DG m’a demandé de travailler toute la journée. Elle est en vacances dans deux semaines, mon Président dans trois, et il y a tant de choses à boucler. En contrepartie je ne travaillerai pas un vendredi matin en juillet et aurai ainsi un week-end de trois jours:-)
Samedi je suis allée à Reims. Hier dimanche, je suis allée au sport et ai fait une séance seule, puis nous avons déjeuné dehors avec Chéri, et ensuite j’ai dormi… trois heures.
Donc, semaine où je n’ai pas trouvé le temps d’écrire. Dans mon prochain billet, je vous raconte ma nouvelle salle de sport et le nouveau coach, pourquoi j’ai décidé de changer… Je vous raconte mon alimentation, que nous allons modifier légèrement pour reprendre la masse musculaire que j’ai perdue en délaissant le sport ces derniers mois. Je vous raconte tout cela au plus vite.
Ma première vraie séance avec Paul est demain matin à sept heures, avant d’aller au bureau. Le mois de juillet les horaires et les jours seront un peu à la va comme je te pousse, car j’arrive en fin d’année comme un cheveu sur la soupe. Sur son planning de rentrée en septembre, Paul et moi choisirons des jours et heures fixes. J’ai hâte de commencer les séances « dans le dur »… Je vous explique tout en détail dans le prochain billet.
Et vous raconterai pour ma nièce ! J’espère que ces derniers jours se sont bien passés ! Prenez grand soin de vous.